Présent à qui ? PRÉSENT A TION ! ;D [ Ruika Tenshi, une ange démoniaque aux reflets lunaire ]

.: Votre Personnage :.

Nom :
Tenshi
Prenom :
Ruika
Surnom :
Rui-Chan / Candy
Age :
15 années ;D
Sexe :
Féminin ! 100%
Race :
Lycan =D
Rang :
Orpheline

Description physique :
Voilà quelque chose qui est assez dur pour moi, étant donné que je ne suis pas toujours à me regarder dans la glace. Par où commencer ? Et bien je dirais que mes cheveux bruns sont assez longs, arrivant environ jusqu’au bas de mon dos et se terminant en mèches fines. Au soleil, ils ont quelque peu tendance à s'éclaircir , ce qui est un peu étrange, transformant mes cheveux bruns en une couleur qui va du brun clair au chatain. Quelques mèches rebelles descendent sur mon front, qui est de taille normale et tout à fait banal.J’ai aussi parfois l’habitude de m’attacher les cheveux en deux couettes symétrique sur le haut de ma tête. Mes yeux sont, quant à eux, de couleur quelque peu étranges puisqu’ils parfois tendances à changer de couleur. Ceci peut paraître vraiment bizarre, mais que je me souvienne, j’ai toujours été comme cela, depuis ma tendre enfance. Généralement vert comme de l'eemeraude, ils virent parfois au kaki. Cela avait d’ailleurs toujours attiré les railleries des autres, m’énervant au plus haut point. Ensuite, et bien mon nez est tout à fait comme les autres, mais pour tout dire, j'ai toujours trouvé qu’il ressemblait à une aubergine, la seule différence étant la couleur et encore. Je n’ai jamais aimé cette partie de mon visage, car non seulement je le trouve informe mais aussi car il a tendance à rougir lorsque je suis enrhumée ou lorsque je bois, ce qui n’est pas bien pratique, il faut l’avouer. Ma bouche, remplie de dents blanches et bien alignées, est plus souvent rieuse que boudeuse. J’aime tout simplement sourire et dès que je le peux, mon sourire esquisse un sourire radieux. Je mets, souvent, du gloss dirons-nous transparent, afin de maquiller un peu mon visage puisque je ne maquille mes yeux que de couleurs claire. Autrement, mon visage ne possède pas de signes particuliers comme certains peuvent avoir des taches de rousseurs ou des lunettes. Sinon, j’ai la fâcheuse tendance à rougir lorsque je suis gênée ou face aux compliments. J’essaye d’éviter à tout prix de regarder le gens dans les yeux quand je mens car mes yeux reflètent en quelque sorte mes pensées. De corpulence moyenne, je me qualifierais ni de quelqu'un de grosse ni de quelqu’un de maigre. Je dirais que je suis svelte et assez souple, j’arrive à passer dans des endroits étriqués et j’adore, un peu à la manière des chats, monter un peu partout et en particulier sur les branches de haut arbres. Mes maigres épaules supportent peu de poids, étant assez frêles. Continuant la ligne des épaules, se situent mes bras, n'étant pas frileuse je me couvre peu en hiver comme en été, bien que les hivers soient froids dans certains endroits que j'ai déjà visiter. Mes bras se terminent par mes mains fines. Mes doigts quant à eux, sont fins et ne se terminent pas, à mon grand regret, par de grands et beaux ongles. Au contraire, je les rongent dès que je stresse et je ne mets quasiment jamais de vernis ou alors quelque chose de transparent. Je trouve d’ailleurs presque vulgaire les grands ongles rouges vif carrés ou arrondis, beaucoup trop superficiel pour moi. Autrement, j’ai une poitrine tout ce qu’il y a plus normal pour une jeune fille de mon âge, même si j'ai tendance à la mettre en valeur avec des décolletés plongeants, et pas que des petits. J’ai ensuite une morphologie tout à fait normale. Je ne suis évidemment pas une top modèle, et je n’ai d’ailleurs jamais prétendue en être une. Sinon, il est ensuite assez dur de parler de mes pieds ou de mes jambes, puisque, en tout cas pour moi, ce pas qu’il y a plus important dans un physique ou la première chose que l’on regarde, lorsque l’on rencontre quelqu’un.
Je dois dire que je porte, la plupart du temps des vêtements de couleurs vive tel le rose, le blanc etc. Les jupes ainsi que les T-shirts ou autre débardeurs sont une parti essentielles dans ma maigre garde-robe. J’aborde le plus souvent un pull rose à manche longue, sans motif particulier, Avec un ruban noire noué autour de mon cou. En-dessous je porte un simple débardeur de couleur blanche. Puis, en bas, je porte une jupe m’arrivant environ au bas des cuisses, ocillant entre le violet et bleu nuit, souvent j'aborde une jupe en damier noir et blanc. Des longues chaussettes noires rayées blanches, montent jusqu’au dessous mes genoux environ, et mes pieds portent de simples bottine noire.

Description du caractère :
Un caractère bien trempé. C'est doux euphémisme.
Je suis courageuse, secrète, orgueilleuse, maligne comme un singe et volontiers indisciplinée. Je donne ma pleine mesure dans les orages et les angoisses, les situations extrêmes. Je suis attachante, mais plutôt difficile à vivre. Mystérieuse, hypersensible, ma personnalité est l'une des plus complexes et des plus riches. Je possède un pouvoir de séduction et un magnétisme auxquels il est bien difficile de résister et qui forcent la volonté d'autrui. Je suis pourvue d'une grande vitalité, et ma force de récupération est étonnante. Je suis une forte tête qui, dès mon jeune âge, réclama la vigilance parentale. Pleine d'énergie, je semble vivre en rechargeant constamment mes batteries. J'évolue dans un monde d'intensité et "use" littéralement mon entourage, tant par ma grande endurance physique, ma résistance à la douleur, que par mon esprit de répartie. Sous mes airs bravaches, cette contestataire née cache une hypersensibilité et un "coeur gros comme ça". Je suis difficile à cerner. Mais comment résister à la force magnétique de mon regard, à mon pouvoir de fascination, au risque de se laisser dominer ? Je suis une enfant dynamique et intrépide, vigoureuse, énergique, entreprenante, qui sait mener avec autorité une bande de filles et de garçons. Rarement malade, Je vais souvent au-delà de mes forces, tentée de commettre quelque action épuisante pour épater les copines. Exténuée, je repart fraîche comme un gardon, car je récupère de manière quasi immédiate. Astucieuse, je sais fort bien me décharger sur mes copines des tâches secondaires. Ainsi je pourrais me consacrer aux projets grandioses qui fourmillent dans ma tête, car la vie au quotidien m'ennuie profondément. Je n'ai guère la mentalité d'un rond de cuir et ne rêverait que plaies et bosses. Rien n'échappe à mon observation, et ma perspicacité est telle qu'il est difficile de dissimuler avec moi. Jamais à la traîne, je devance les autres, du moment que mon orgueil est en jeu. Mais je sais aussi me montrer utile et généreuse. Pas de demi-mesure avec un enfant comme moi. Mon caractère entier et parfois abrupt me vaut des amitiés indéfectibles, mais aussi des haines tenaces dont je me fiche d'ailleurs éperdument. Ma curiosité est insatiable, ma mémoire phénoménale. Mon premier mouvement sera toujours de dire non et de contester l'ordre reçu. En fait, cela m'amuse de rouspéter, de récriminer, et surtout de critiquer.Mais on me pardonne beaucoup, car mes qualités de courage, d'audace sont réconfortantes et compensent mon agressivité innée. Ma combativité consiste à anéantir l'obstacle par étapes successives, selon la méthode dite "d'encerclement". Plus tard, mon sens de la stratégie et mon goût pour le pouvoir solitaire feront de moi une écrivain, une star, une psychanalyste, une chercheuse, une paparazzi, une photograhe, une tragédienne, une maquilleuse, un écrivain tourmenté, une sportive de haut niveau. De toute façon, J' excellerais dans les situations extrêmes où rôdent les dangers et la mort.
La profondeur de mes réflexions et l'acuité de mes analyses font de moi une excellente élève. Intellectuellement, j'ai tout pour réussir ; mais parfois mon comportement rebelle et mon refus de l'autorité peuvent me poser des problèmes. Je suis passionnée, profondément romantique, et je ne me soumet pas facilement aux contraintes de la vie moderne. Comprendre le fonctionnement des choses et le comportement humain, voilà mon sujet de prédilection. Je sais qu'à force d'investigations, je peut déstabiliser les autres, mais je m'en fiche et j'irais jusqu'au bout. Je me complaît dans un univers mystérieux, et aime m'entourer de zones d'ombres. J'adore les relations amoureuses complexes.Mon refus de communiquer, mon incapacité à accepter les conseils me mettent souvent dans des situations sociales difficiles. Je ne veut pas reconnaître mes torts. Je suis une forte tête qui en impose mais qui se fait également souffrir par mon manque de tolérance vis-à-vis de moi-même.

Histoire :

Vos gouts :
AIME : Ruika aime certes peu de choses mais elle sait se contenter de plaisirs simples.Le vent frais du Nord, qui fait danser ses cheveux en est un parfait exemple. La pluie qui tombe les jours tristes, les sommets enneigés, le froid, les lacs limpides que rien ne trouble, l’océan déchaîné que rien ne semble arrêter en sont bien d’autres. Elle apprécie plus la nuit, moment de sérénité que le jour, qui favorise l’énervement. Sa solitude lui est essentielle ainsi que ses précieuses méditations qui s’avèrent le plus souvent prémonitoires. Elle aime les personnes intègres, qui ne dissimulent pas leurs défauts en faveur de qualités moindres. Elle aime ces personnes qui sont franches, décidées à venir à bout de tout. Pour être plus simple, elle aime ce qui lui ressemble.
DETESTE : Ce qu’elle déteste est tout simplement le contraire, bien que ce « contraire » soit plus nombreux. Elle n’aime pas le feu, représentant la colère, la passion et le désir ardent, pulsions à bannir définitivement. Elle n’apprécie pas le soleil, la lumière chaude, les volcans, les champs en fleurs et tous ce que les humains banals apprécient, eux. Les personnes hypocrites, qui jouent un double jeu, qui méprisent l’horripilent particulièrement. Tout comme d’ailleurs les sentiments comme l’amour ou l’amitié qui sont le plus souvent fondés sur le faux et n’apporte jamais rien de bon. Une chose particulière l’intrigue. Le miroir. Cet objet de glace, élément qu’elle vénère, ne fait que renvoyer toujours et encore une image. Un simple fragment de la réalité. Une fausse réalité. Il crée les mensonges et les projettent. Par dessus tout, elle déteste donc ceux qui les idolâtrent, passant leur temps à se contempler. Là aussi, elle déteste tout simplement ce qui ne lui ressemble pas.

.: Vous :.

Prénom :
Chiibi
Age :
17 ans ._.
Comment avez-vous connu le forum ? :
Je suis une fonda ! =o
Avez vous lu le réglement ? :
Haha ! J'lai même ecrit en partie ;D

Autre compte ? :
La directrice ;D Mais en partenariat xD Un corps pour deux âmes =p

Autre :
Comporte tout ce que vous voulez dire de plus sur votre perso

Codes ? :
Validés ;D [ Kamiko ]

Bienvenue a toi chère élève ;D
J'espère que ton séjour dans mon orphelinat sera des plus confortable.
Cependan, n'enfreint pas le réglement ou ma sentance sera terribe ...
Bon amusement à toi ;D

(Niark, niark Cool

)

Histoire

Identifient : Rkt784
Mot de passe : *******
Attention ! Intrus détecter !

C'est là que l'histoire de Ruika commence. Par une tentative d'évasion.Avant de poursuivre, avez-vous déjà entendu parler de la lignée Tenshi ? On raconte que ce sont de puissants humains. La légende dit même que ce serait les anges qui les auraient créer a leurs images, et que ce serait de là que vienne leur nom. Pourtant même une famille aussi puissante que la leur avait des secret qu'il valait mieux ignorez ...

" C'est ta faute Ruika ! " Un coup s'abattit sur le dos de l'aînée des Tenshi, les lanières de cuirs lui meurtrissaient la peau. Malgré la rougeur de l'épiderme de la jeune fille, on voyait encore les cicatrices de ses précédentes souffrances. « C'est toi qui a maudit ta mère en venant au monde ! » Le fouet claquait dans l'air comme sur sa chair à vif. Elle était la dernière fille d'une lignée de quatre, mais de quatre filles. Et pour les sauver d'une mort qui planait depuis leur naissance au dessus de leur tête, la jeune Ruika acceptait les coups sans se rebeller. Ses parents avaient toujours souhaité un garçon pour assurer l'héritage de la famille. Ils étaient nobles, et pour eux, il était inconcevable qu'aucun des enfants ne soit mâle, mais voilà, leur mère ne pouvait plus enfanter et c'était la raison de la colère du père. Tradition ancestrales à ce qu'il paraissait. « À cause de toi, nous n'aurons jamais la chance d'avoir un héritier digne de se nom ! » Les ombres dansaient sur le mur et le mis à part le claquement régulier de l'instrument de torture, rien n'aurait pu laisser deviner ce qu'il se passait dans cette pièce là de la maison. Bientôt la flamme de la bougie s'éteignit dans la cire liquide et le supplice avec elle. Doucement, la jeune noble regagna sa chambre, une partie de sa tunique trainant sur le sol, elle avançait uniquement éclairée par des faisceau de rayon de lune qui passaient à travers quelques minces ouvertures. Le parquet grinça, elle s'arrêta juste devant la porte de sa chambre, posant une main dessus. Une autre s'ouvrit non loin, faisant apparaître la faible lueur d'une bougie, tandis qu'elle pénétrait silencieusement dans la pièce. Des bandages et de l'eau saine avaient été soigneusement disposés sur le sol près de la fenêtre. Cela faisait longtemps qu'elle vivait recluse dans la partie la plus éloignée du domaine, sans lumière, ni de quoi se chauffer, c'était son sacrifice pour offrir à ses sœurs la vie qu'elle n'avait pas eu. Elle pansa tant bien que mal ses blessures alors que Mei, sa cadette, lui apportait de quoi manger. S'en suivit un long débat sur son état qui se termina par un long silence. Ruika se leva, sans toucher à la nourriture, regarda sa sœur qui comprit qu'elle devait la laisser, puis se mit au lit. Dans deux jours, elle fêterait son sixième anniversaire, mais rien ne se passerait comme prévu, car elle le savait, ce jour là ne serait rien de plus que le jour de sa mise à mort.

L'aînée passa une fois de plus sa journée dans l'obscurité ; elle avait tout préparé, vivres, vêtements de voyage, arme... Il suffisait d'attendre encore quelques heures et elle partirait.
On frappa doucement à la porte, celle-ci pivota pour laisser apparaître trois visages pales et angoissés. Surprise la plus vieille sursauta à leur approche. Elles ne devaient pas se trouver avec elle ce soir là. Elle avait tout fait pour et apparemment quelque chose avait mal fonctionné...
— Sortez !
Voyant qu'elle ne se décidaient pas, elle répéta son ordre plus fort encore et sentit les trois autres filles tressaillir. Si la gentillesse ne pouvait les faire changer d'avis, elle ferait tout pour se les mettre à dos et ainsi les protéger. La benjamine des Tenshi s'avança, apeurée, elle n'avait que trois ans après tout et ça avait du lui faire un choc d'apprendre ce départ ; elle se jeta dans les bras de l'aînée, la suppliant de rester. Brièvement, Ruika tenta de lui expliquer les raisons pour lesquelles sa disparition était nécessaire, mais la pauvre enfant ne pouvait comprendre même en y mettant du sien. Après un long silence et des regards échangés, les plus jeunes des Tenshi s'en allèrent à regret.

« Elle tente de s'échapper ? Faites en sorte qu'elle disparaisse à jamais. »
« Entendu. »

Le bruit d'une bourse passant de main en main troubla un instant le silence solennel de la nuit.
Ruika avait réussi à se procurer des vêtements masculins à sa taille, ce qui ne lui déplaisait pas : elle y était très à l'aise et aucun de ses mouvements ne la gênaient. Suspendue au bout d'une branche, elle regardait une dernière fois le jardin qu'elle venait de traverser ; elle se laissa finalement glisser de l'autre côté du mur, sans trop faire de bruit.

Dans le noir, la jeune fugitive ne discernait rien de plus que les mouvements fantomatiques du feuillage des arbres. Des murmures attirèrent son attention, elle avança discrètement et pencha la tête. Ses trois sœurs se tenaient juste devant le portail d'entrée.
— Mei ! Seki ! Asa ! Rentrez à... Attention !
Des cris déchirèrent la nuit, d'importants bras avaient saisi le trio d'apprenties rebelles et ne tardèrent pas à capturer la fugitive. Impossible de crier ni même de se débattre, on lui asséna rapidement un violent coup au bas de la nuque et elle tombait à moitié sonnée sur le sol. Une main la souleva par le crâne et la força à regarder en direction des corps se débattant avec rage. Ses bras avaient été libérés mais la peur affolante la paralysait. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, trois cadavres gisaient devant elle, la tête séparée de leur frêle corps d'enfant. Un nouveau hurlement se perdit dans l'obscurité et dans un élan de haine, la dernière survivante dégaina son unique dague. Prenant par surprise son agresseur, elle lui entailla le ventre et n'arrêta pas ses coups malgré les coups qu'il continuait de lui infliger. Les autres mercenaires ne tardèrent pas à vouloir l'arrêter mais elle réussit à échapper à leurs griffes. Dans sa course effrénée, la dernière enfant des Tenshi s'était débarrassée de son sac. Les larmes mouillaient une grande partie de son visage et semblaient intarissables. Doucement, elle récitait les prénoms de ses sœurs et sans y prêter attention s'engouffra en coup de vent dans une ruelle, qui, malheureusement pour elle, se révéla sans issue. Acculée à un mur assez imposant elle trouva à peine le temps de se retourner avant de s'apercevoir de la présence de ses poursuivants. La colère l'habitait tellement que l'empreinte du manche de la dague se voyait nettement sur la paume de sa main. La jeune fille positionna son arme devant elle, bien qu'elle n'avait pas l'air très maligne dans ces conditions elle cherchait le courage qu'il lui manquait quelque part au fond des ses tripes. Les brigands se rapprochaient, l'allure plutôt décontractée, savourant leur victoire.

Alors que tout espoir semblait perdu, des phares de voiture éclairèrent l'allée et Ruika en fût aveuglée. Elle voyait les ombres des brigands sortirent leurs armes et s'approcher de la lumière, voulant sans doute se débarasser des gêneurs. Elle observa la scène, alors que tout espoir semblait perdu, des gens avait surgi. Le combat était inégale mais ce fut les nouveaux venus qui éloignèrent les bandits. L'angoisse passée, son corps dégagea de l'endorphine qui, mêlée aux emotions et au choc de la soirée, provoquèrent chez Ruika un évanouissement.

« Monsieur ! Elle est là. »
« Elle est épuisée. Emmenez-la aux laboratoires ! »

Des bras puissant la soutenèrent et la portèrent jusqu'à un 4x4 gris métallisé. Elle n'essaya même pas de se débattre, elle savait qu'à présent elle ne courait plus aucun danger. A la moindre alerte son coeur reformerait certainement la barrière protectrice qui lui avait servi. Une fois dans la voiture elle chercha a rencontré le regard des personnes aux alentours mais aucun ne faisait vraiment attention à elle. Peu après il la firent descendre, elle tenait maintenant à nouveau seule sur ses jambes. Un immense bâtiment se trouvait devant elle. L'un des homme la poussa légèrement dans le dos pour l'inciter a avancer. Elle traversa Les portes automatiques et un homme l'acceuillit. Il lui expliqua pourquoi il l'avaient sauvé. Elle serat utilisé comme cobaye pour des test génétique. Pour elle, tout cela n'avait plus aucune utilité, elle se fichait de mourir ou non, elle avait perdu ses soeurs. Elle accepta, et c'est là dans ce laboratoire qu'elle fit la connaissance d'Ashelia. Elle aussi n'avait plus de famille et servait de cobaye dans les laboratoires. Les deux jeunes filles devinrent de grande amies, elles savaient tout l'une de l'autre. Et grâce a elle, Ruika parvenait même quelque fois a sourire normallement, comme une fille de son âge le devrait. Alors qu'elles allaient fêté les huit ans de Ruika, elle décidèrent ensemble que le temps de partir était venu pour elles.

Quelques semaine plus tard, leur plan était près, elle ferait croire à un piratage et profiterait de la confusion générale pour s'échapper par la grande porte. Tout ce passa sans accroc, jusqu'au moment où Ruika reçut le signal d'Ashelia. Elle était digne d'être espionne de choc, même à cet âge là. Ruika pianota sur le clavier de son tuteur, ses connaissances en matière d'informatique étaient devenu très importante grâce a l'éducation du laboratoire. Quelques minutes plus tard, des lumière rouges et des sirène se mirent à sonner. Les deux fillettes, se tenant la main, se faufilèrent dans les conduits d'aération tandis que l'agitation au dessous d'elle se faisait plus forte. Elles affichaient toute deux un petit sourire sadique, fières de leurs mauvais tours. Elle se dirigèrent vers l'entrée, déserte de tout garde et sortirent des conduits pour ensuite se précipiter dehors. L'air froid de la nuit les firent frissoner toute les deux. Le vent était fort, un prospectus vint se poser devant les deux fillettes : " Regarde " Ashelia le ramassa et Ruika lut par dessus son épaule : " Orphelinat Kuragari .. Pour enfants spéciaux " Elle se regardèrent un long moment puis l'idée naquit dans leur tête, c'est là qu'elles iraient toute les deux.

Elle mirent quelques mois avant d'arriver enfin sur l'île de l'orphelinat. Elle furent acceuillie par la directrice en personne qui s'etonnait de voir deux petites seules et pourtant dans leurs yeux on voyait déjà énormément de vécu. Elle furent donc admise a l'orphelinat et toute les deux partagèrent une chambre du bâtiment Day. Mais vous savez comme moi qe l'herbe du voisin est toujours plus verte n'est-ce pas ? La curiosité, ce si vilain défaut qui se manifeste toujours là ou il y a des secret. Au plus le secret est lourd, dangereux ou mystérieux, au plus il est difficile de ne pas savoir de quoi il s'agit. Un soir de pleine lune, les deux petites échafaudèrent un nouvau plan. Bien après le couvre feu, elle passèrent à côté du garde de discipline humain qui ronflait, elles souriaient déjà de leurs petites ballades nocturnes, ne soupçonnant pas même que leurs destin allait bientôt les séparées, pour de bon ... Elle se mirent d'accord, Ruika irait voir du côté du bâtiment Dawn, tandis qu'Ashelia irait voir celui qui portait le nom " Night " Elle s'enlacèrent et se donnèrent rendez-vous dans deux heures devant les portes du bâtiment Day. Elles partirent donc chacune de leur côté, confiante en se disant qu'elles auraient surement des choses a se raconter à leurs retour.

Elle escalada un arbre pour passer dans la cours du bâtiment Dawn, tout était silencieux, il faisait nuit. Un hurlement déchira le silence de la nuit, un hurlement ... de loup ? Ruika resta sur place pétrifier, les animaux n'etait pas accepté à l'orphelinat et encore moins les animaux dangereux. Elle se décida à avancer, poussant la lourde porte de bois massif dans un grincement sinistre. Elle ferma derrière elle, seul le bruit de ses pas cassant le silence. " Il y a quelqu'un ? " s'entendit-elle murmurer. Pas un bruit et puis soudain elle le vit. Un loup ? non. C'etait bien plus gros. Un ours peut-être ? Elle se figea , grosse erreur, elle pensait sûrement que la créature passerait à côté, or en sentant l'odeur allechante de l'imprudente elle se jeta dessus. Ruika ressentit une profonde douleur et sombra dans l'inconscience.

Ses yeux étaient encore clos. Elle entendait le bip a intervalle régulier du pacemaker, elle n'etait donc pas morte ? Une chance. Elle ouvrit les yeux et se redressa brutalement : " ASHELIA ! " une infirmière arriva avec un sédatif car la petite ne faisait que gesticulant, Hurlant qu'elle devait allé prévenir son amie. Le sédatif fit de l'effet et elle ressombra dans un sommeil sans rêve. A son réveil, la directrice était là, elle avait l'air en colère malgré l'inquiètude que Ruika avait perçue. Elle la gronda, lui disant que sa vie ne serait jamais pareille maintenant et qu'elle comprendrait à la prochaine période, elle lui révela que ce serait pareil pour Ashelia et qu'elles ne seraient plus autorisées a se voir autre que dans le bâtiment central, réservez au cours. Ruika ne comprenait pas, et c'etait bien rare elle qui avait une maturité plus élevé que la normale, elle questionna la directrice mais celle ci partit sans rien ajouter. Les jours suivant furent ennuyeux, Ruika ne cessait de s'en faire pour Ashelia, et quand elle put enfin sortir les affaires d'Ashelia n'etaient plus dans leurs chambres. Ashelia étaient transferée dans le bâtiment Night, tout comme Ruika l'était dans le Dawn. Elle reprit l'école la semain d'après, voulant a tout prix parler a Ashelia, elle se retrouvèrent et expliquèrent chacune leurs aventure. Mais Ruika trouvaient son amie bizarre, ses yeux étaient étrangement rouge alors qu'elle les avait d'un magnifique bleu avant. Chacune horrifier par les secret de l'orphelinat. Mais Ruika voyait bien que Ashelia savait quelque chose qu'elle ignorait. Elle constatait aussi que l'odeur de son amie avait changer et cela lui était dur a supporter mais elle s'y habitua.

Comme l'avait prédit Kamiko Kuragari, la directrice, Ruika comprit tout a la pleine lune suivante. Elle essuya sa première transformation en Lycan. C'était douloureux et elle avait passer la nuit dans une chambre capitonnée du bâtiment Twilight. C'etait là qu'elle irait dorénavant lors des pleines lunes tant qu'elle n'arrivait pas a maîtriser ses transformations ...

Sa vie, ne serait plus jamais la même ... C'etait une certitude.

Je te félicite pour ton histoire déja, elle est superbe

Je l'adore beaucoup ^^
Pour ce qui est du reste, tout est bien rempli =3 Cela ne m'étonne pas de toi, de tout de manière. ^^
Bref, tu es validé Wink

Je lock et je déplace ^^

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