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 Reizo FUUSAKI

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2 participants
AuteurMessage
Reizo Fuusaki
Orphelin ~ | * Humain.
Reizo Fuusaki


Messages : 16
Date d'inscription : 28/11/2009
Localisation : Là où il y a quelque chose à faire

Carte d'étudiant / professeur.
Race: Humain
Bâtiment:
Relations.:

Reizo  FUUSAKI Empty
MessageSujet: Reizo FUUSAKI   Reizo  FUUSAKI I_icon_minitimeDim 29 Nov - 0:21

.: Votre Personnage :.

Nom :
Fuusaki
Prenom : Reizo
Surnom : Rei
Age :18
Sexe : ♂ M
Race : Humain

Description physique :
Il ne faut pas juger les gens sur leur apparence. Reizo Fuusaki est un jeune garçon bien bâtit, aux épaules solides quoi que restant dans la normalité pour quelqu'un de son âge. Elles lui confèrent une silhouette droite et ferme, dont la force est aisément estimable. Loin d'être un surhomme, il faut pourtant bien se méfier de ses poings violents et ravageurs, vestige de longues années de boxe. On pourrait également dire de Reizo qu'il est grand, quand soi même on est petit. Mais les plus grands diront que Reizo ne l'est pas tant que ça. Donc au final, c'est un garçon de taille moyenne.
A part un physique de base, Reizo n'est pas un garçon qui passe inaperçu. Ses cheveux rougeâtres, et les lentilles assorties qu'il aime porter, donnent à son visage fin une dimension étrange, parfois inquiétante, parfois charmante. Jouant sur l'ambiguïté de son apparence, il adopte des attitudes correspondant à ce qu'on attend de lui. Menaçant lorsqu'il sait qu'il impressionne, séducteur presque involontaire lorsqu'il voit fondre une fille devant lui. Ce n'est pas chose courante, cependant, qu'une jeune demoiselle se risque à montrer son intérêt pour lui. Parce que malgré tout, son regard brille d'une lueur d'orgueil, et bien souvent, les apparences ne sont pas trompeuses lorsqu'on parle de Reizo.


Description du caractère :

On voit un garçon solide au regard franc et profond. On ne voit que ça, donc, et on a raison. Reizo a une estime de lui même assez particulière. Comme beaucoup, il n'a pas toujours été gâté par la vie. Pourtant lui a une manière très spéciale de réagir : il prend tout sur lui. Désireux d'être autonome le plus vite possible et de prouver, aux autres aussi bien qu'à lui même, qu'il est capable de se sortir de l'existence mélodramatique qu'il mène, il va à l'encontre des ennuis et en acceptes toutes les conséquences. Peut être que dans un sens il cherche à évacuer le stupide sentiment de culpabilité qui l'habite. Ou la honte. Peut être simplement qu'il aime l'adrénaline et les grandes frayeurs, les émotions fortes...Vous savez, tout ce qui peut faire battre le cœur à une vitesse folle, à tel point qu'il semble sur le point d'exploser la poitrine de son propriétaire pour s'enfuir. C'est un peu de la folie, oui. Dans un sens. Mais qui n'est pas fou, même un peu ?
Il n'est pas vraiment un garçon sociable. Parce qu'il trouve toujours quelque chose à reprocher aux autres. De plus, assez maladroit dans sa manière d'exprimer ce qu'il ressent, que ce soit de la simple camaraderie à l'amour (mais a t'il déjà été amoureux?) il préfère rester dans une sorte de mutisme méprisant plutôt que de risquer de passer pour un idiot sans cervelle. On pourrait donc dire qu'il est le stéréotype de monsieur muscle. Si on considère qu'il n'est, sommes toutes, pas si musclé, alors oui, il n'est pas loin d'être un mec sans trop d'estime pour les plus faibles que lui.

Histoire :
Pas de naissance extraordinaire. Pas de nuit de pleine lune, pas de vendredi 13... Juste une mère de famille, modeste, et son mari qui l'était tout autant, donnant la vie à un être de chair et de sang. Le troisième fils de Kira Fuusaki et de Nana Fuusaki.
Enfance paisible, il apprit à marcher, à lire et à compter sans encombre. Reizo a évolué au milieu de ses frères et de ses camarades de classe sans aucun soucis particulier. Le pire qu'on puisse lui reprocher à cet âge serait l'innocence. La candeur. Et le soucis de vivre pleinement. Mais justement, en grandissant cette obsession de s'amuser a fini par causer quelques soucis scolaires au jeune Reizo. Arrivé au collège, ce qui n'a pas été très facile d'ailleurs, il sembla perdre toute motivation pour faire ses devoirs et réviser ses leçons. Complètement différent de ses deux frères, âgés de deux et cinq ans de plus que lui et qui voyaient dans l'école le moyen de grimper l'échelle sociale, Reizo préférait fréquenter les pires élèves de sa classe. Vous savez, le genre de sales gosses qui se croient tout permis, y comprit d'insulter les professeurs dans leur dos mais d'une voix suffisamment audible … peut être que le plus jeune des Fuusaki trouvait rassurant de fréquenter des durs à cuir. Enfin, des petits durs à cuir.
Son meilleur ami, Ganjû, était un garçon rondouillard à la voix grave et puissante, et dont le rire faisait des ravages dans les salles de classe. Certes, ce n'était pas le pire voyou du collège, mais il avait un grand frère. Shinji, 15 ans, soit quatre de plus que les deux amis.

Shinji avait une bande de pote avec qui il sortait toutes les nuits pour emmerder le monde. Vols de sac, bagarres avec d'autres jeunes, tags, insultes à proffusion...Et le bruit ronronnant de leurs motos qui les précédaient tout le temps. Les interventions de la police ne se comptaient plus, et n'aboutissaient souvent à rien. Shinji et sa bande avaient le temps de s'enfuir sur leurs engins au puissant moteur.
Ces histoires ne touchaient en rien Reizo. Ganjû et lui, malgré leur insolence et leurs mauvaises notes, restaient des élèves à peu près normaux. Mais de fil en aiguille, le petit rondouillard en vint à admirer son frère. Et Reizo en vint à trouver ça drôle et palpitant. Les choses commencèrent vraiment à déraper lorsqu'il eut l'âge de conduire un scooter. Ganjû et lui se cotisèrent pour en acheter un et pouvoir suivre Shinji et sa bande. Certes, ils ne faisaient pas le poids, mais au moins vivaient ils en direct ce que racontait tout le temps le grand frère.
Mr et Mme Fuusaki se doutaient de plus en plus des activités nocturne de leur dernier fils. Si Reizo prenait soin de faire le mur qu'une fois ses parents couchés, il était moins évident d'échapper à l'attention de ses deux frères. Ces derniers finirent évidemment par rapporter en détail les heures pendant lesquelles Reizo s'évadait de chez lui, et les parents Fuusaki tentèrent de trouver une solution au problème.
Ce n'est pas facile pour des parents de trouver le bon remède à la crise d'adolescence d'un enfant. On a peur d'en faire trop, ou pas assez. Souvent d'ailleurs, on ne se rend pas compte qu'on fait pire que mieux. Pourtant eux furent des parents exemplaires, et jamais n'évoquèrent le problème avec Reizo. Ils le laissèrent acheter son scooteur en lui faisant promettre de faire attention. Ils le laissèrent se teindre les cheveux en pourpre, en lui disant pourtant que le noir lui aillait mieux. Et par de multiples stratagèmes discrets il tentèrent de redonner une attitude normal à leur fils. Leur volonté étant de refaire naître chez lui l'affection pour son foyer, ils lui proposèrent même d'acheter un chien.
Peut être qu'ils n'auraient pas du laisser le jeune garçon, alors âgé de 16 ans, choisir lui même la race de l'animal. Il opta forcément pour la bête la plus impressionnante : un dogue argentin au poil blanc immaculé et au crâne massif, mettant en valeur sa puissante mâchoire. Malgré l'acquisition de l'animal, comme on pouvait s'en douter, Reizo ne changea pas d'un pouce. L'année de ses 17 ans se résumait en quelques mots : la bande, le scoot avec Ganjû, et le chien.

On dit qu'on ne se rend compte de ce qu'on a que lorsqu'on perd tout. Du jour au lendemains Reizo perdit effectivement tout ce qu'il avait. C'était un mois environ avant qu'il n'atteigne 18 ans. Comme d'habitude, il avait fait le mur avec Ganjû pour aller observer la bande de son frère. Shinji disait qu'un jour ils pourraient en faire partie, si ils le voulaient. Quand ils auraient des motos pour les suivre. C'était à se demander où eux avaient eu leurs engins. Certainement pas légalement. Bref, Reizo revient vers cinq heures du matin, avec presque une bouteille entière de vodka dans le sang, et le cerveau échauffé par les coups d'éclat de ses amis. Il escalada le mur du jardin, et gravit les branches de l'arbre qui menait à sa fenêtre, sans un bruit ou presque. Il ne remarqua pas l'étrange absence de son compagnon canin, qui lui faisait d'ordinaire la fête lorsqu'il rentrait de ses escapades nocturnes.
Lorsque la lumière du jour vint tirer le jeune garçon de son sommeil, la maison était toujours aussi silencieuse que la veille. Il était 9h passées, Reizo était en retard pour aller en classe. C'était étrange que sa mère ne soit pas montée le tirer des bras de Morphée. C'était étrange aussi que le chien n'ait pas aboyé contre le facteur. Pourtant, tout concentré sur sa petite personne, Reizo supposa qu'ils étaient partis. Il avait raison dans un sens. Mais ce ne fut que le soir qu'il commença sérieusement à se poser des questions. Pas l'ombre d'un frère rôdant dans les parages pour rapporter ses faites et gestes. Pas le moindre raclement des griffes du dogue argentin sur le sol. Pas un mot, rien. Reizo appela plusieurs fois chacun des disparus, mais jamais ils ne répondirent.
Ganjû lui conseilla d'appeler ses grands parents, ses oncles et ses tantes. Mais il n'avait pas la moindre idée de qui il s'agissait : les Fuusaki n'étaient pas une grande famille et ne se voyaient pas beaucoup. Shinji, dans sa grande bontée, ou peut être parce qu'il s'ennuyait ferme ce soir là, proposa même que sa bande aille explorer les environs, au cas où Mr Fuusaki, Mme Fuusaki, et leurs deux fils, ne se soient perdus, ou n'aient eut un accident. Mais rien, encore, pas une trace.
Pas de nouvelle, bonne nouvelle, dit on.

La police fut prévenue, bien sûr, et on chercha longuement les disparus. Au bout de presque un mois il fallait se rendre à l'évidence pourtant : ils ne reviendraient pas.
Reizo vécu seul chez lui pendant tout ce temps. Il n'avait même pas le cœur à inviter Ganjû. Le sentiment d'avoir été abandonné lui rongeait l'esprit. Et ce jusqu'à ce qu'il aille se changer les idées en marchant toute une journée. Il ne suivait que la course de ses propres pas, et arriva finalement bien loin de chez lui. C'était presque la campagne à cet endroit là. Les chemins étaient boueux, les fossés inondés. Quelque chose d'informe et de blanc attira son regard, pourtant. Et le cœur bondissant dans sa poitrine, Reizo s'accroupit à côté du cadavre de son chien, que les averses avaient fait glisser d'un fossé jusqu'au bord de la route. La pauvre bête puait et était dans un sale état. Il avait la jugulaire complètement déchirée, si bien que sa tête ne semblait plus vraiment pouvoir rester accrochée au reste du corps.
Réprimant l'envie soudaine de vomir quelque part par là, Reizo se releva, effaré. Ce chien, son chien, était là, gisant sur le bord de la route comme un détritus quelconque. SON chien, qui avait disparut avec le reste de sa famille. Mort, égorgé. Car il ne faisait aucun doute que la plaie béante dans sa gorge était la cause de sa mort. La question était de savoir qui avait pu faire ça.
Pendant plusieurs nuits, Reizo rêva de chiens égorgés, envisageant toutes sortes de possibilités. Le dogue n'était pas une petite nature. Ce qui l'avait tué devait être au moins deux fois plus grand pour affronter et mettre à bas une masse de nerf et de muscles telle que lui.
Il en parla à la police, fouilla, chercha, mais personne ne pouvait l'aider, et l'image du chien égorgé revenait chaque nuit le hanter. Un chien blanc comme neige à la poitrine éclaboussée de sang.

L'administration étant ce qu'elle est, le sort de Reizo mit près d'un mois à être réglé. Il fut enfin décidé qu'il irait en pension.
Le garçon s'en moquait. Il se moquait de tout, en fait. Il avait l'impression de passer à côté de quelque chose d'important. Pendant des années, obsédé par sa propre personne et son besoin d'adrénaline et d'action, il avait laissé de côté sa famille. Shinji et sa bande étaient loin, maintenant, et alors qu'un taxi le conduisait jusqu'au port, Reizo se maudissait de ne pas avoir été plus attentif.


Vos gouts :
Reizo aime tout ce qui est bolides, motos, engins à moteur ronronnant de puissante et dont on peut faire exploser le compteur de vitesse. Parce que la sensation qu'on a lorsqu'on est sur une bête de métal et de gaz et ce qui se rapproche le plus de l'extase pour lui.
Pour ce qui est des goûts vestimentaires...en général, ça va de paire avec sa passion pour la moto : blousons de cuir, jeans, boots... pas le stéréotype du motard, non, mais une touche par ci par là qui démontrent qui il est.
Enfin, solitaire dans l'âme il aime passer du temps à méditer, à propos de lui, et de l'étrange disparition de ses parents. Il en vient souvent aussi à s'accabler de reproches, ou au contraire à se dire qu'il réagit de la bonne manière. Ces moments de réflexions sont très important pour sa santé mentale. Nul doute que c'est là les seuls instants où il raisonne un minimum.


.: Vous :.

Prénom : Joker

Age : Joker (y'en a deux par jeu de carte alors j'ai le droit u_u

Comment avez-vous connu le forum ? : Via Lin...Daiki quoi.

Avez vous lu le réglement ? :
Vous devez saisir le code caché dans les règles.

Autre compte ? :
Pas d'autre compte pour le moment

Autre :


Codes ? :
Validés ;D [ Kamiko ]
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Kamiko Kuragari
Admin toute puissante | * Directrice.
Kamiko Kuragari


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MessageSujet: Re: Reizo FUUSAKI   Reizo  FUUSAKI I_icon_minitimeDim 29 Nov - 0:38

Bonjour et bienvenue cher élève ;D
Ta fiche est parfaite et rempli les conditions, je te valide donc.

Veille a respecter le règlement ou tu auras à faire à moi ;D
Bon amusement parmi nous.

Je lock, déplace et t'offre ta couleur et ton rang.
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Reizo FUUSAKI
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